Movetia lance le deuxième appel à projets 2021 pour les projets de mobilité européenne dans les domaines de l’enseignement scolaire, de la formation des adultes et professionnelle ainsi que de l’animation jeunesse (délai de dépôt des demandes en octobre). Le potentiel de subvention est important!


Les projets d’échange et de mobilité restent possibles. Malgré les incertitudes rencontrées, on a pu constater dès le premier délai de dépôt des demandes de 2021 que les nouveautés apportées au programme avaient généré de nouvelles idées et demandes de projets. L’enseignement scolaire a approuvé pour la première fois 197 mobilités européennes d’élèves dans 7 des 14 projets déposés. Ces mobilités seront effectuées dans les deux années à venir et ce chiffre continuera certainement d’augmenter dans le futur. Cet exemple nous encourage à continuer à avancer et à réfléchir à des alternatives. Dans une perspective de moyen à long terme, il est maintenant possible de poser les précieuses bases d’une collaboration internationale dans le domaine de la formation, bases sur lesquelles pourront ensuite s’établir des synergies durables. Les chances de réussite sont bonnes.

Subventions

Le budget total 2021 pour les projets de mobilité européenne est de plus de 37 millions de CHF (100%), tous domaines confondus : 80% ont été attribués lors du premier délai, les quelques 8 millions de CHF restants (20%) sont disponibles pour le deuxième délai de dépôt des demandes. 

Etant donné que de nombreux projets en cours ont été prolongés et disposent de suffisamment de moyens jusqu’en 2022, le nombre de demandes déposées a sensiblement baissé dans certains domaines lors du premier délai. Cela ouvre de nouvelles opportunités de subvention pour toutes les personnes intéressées.

Movetia soutient des activités de mobilité très diverses
Les projets de mobilité permettent la subvention d’une grande diversité d’activités pour un large public cible:

  • Personnel enseignant jusqu’au degré secondaire II et formateur-rice-s d’adultes:
    Formations continues structurées, stages d’observation, enseignement
  • Elèves:
    Echanges de groupes et séjours éducatifs individuel
  • Apprenti-e-s:
    Travaux de projet thématiques (mobilité de groupe) et stages en entreprise, avec ou sans préparation linguistique
  • Jeunes diplômé-e-s:
    Stages en entreprise, avec ou sans préparation linguistique
  • Animateur-rice-s jeunesse:
    Formations, séminaires de contact, séminaires thématiques, visites d’étude, job shadowing et stages d’observation
  • Jeunes:
    Volontariat, rencontres de jeunes, rencontres et manifestations sur le thème «Jeunesse et politique»

Les projets de mobilité peuvent être réalisés avec des partenaires des 27 Etats membres de l’UE, du Royaume-Uni, des Etats de l’AELE/EEE, d’Islande, du Liechtenstein et de Norvège, ainsi que de Turquie, de Serbie et de Macédoine du Nord. Dans le domaine des activités de jeunesse, des collaborations sont également possibles avec d’autres pays partenaires, en plus de ceux listés ci-dessus.

L’Europe manifeste un grand intérêt à collaborer avec la Suisse. Cet écho favorable doit permettre de créer de nouveaux  liens, non seulement là où, jusqu’à présent, l’apprentissage des langues était au premier plan, mais également là où l’apprentissage mutuel peut être source d’expériences nouvelles, riches et innovantes.

Alors, pourquoi ne pas mettre le cap dès cet automne sur de nouveaux horizons?

[Translate to français:]

Délais de dépôt des demandes

Grâce aux deux délais (enseignement scolaire, formation des adultes et professionnelle) ou trois délais (Jeunesse en Action) par an, vous pouvez choisir celui qui vous convient le mieux et commencer les prochaines mobilités dès janvier 2022.
 

Prochain délai enseignement scolaire, formation des adultes et professionnelle: 4 octobre
Prochain délai Jeunesse en Action: 12 octobre

Pérennité

Les fonds alloués au programme ont d’ores et déjà été acceptés par le Parlement dans le cadre du message relatif à la formation, à la recherche et à l’innovation (FRI) 2021-2024 et ne dépendent donc pas d’une réassociation à Erasmus+. Par conséquent, rien ne s’oppose à la continuité des projets d’échange et de mobilité.