Vendredi 13 janvier

Les deux cantons ont signé ce vendredi 13 janvier un accord officiel - renforçant ainsi une collaboration de longue date. La réalisation de nouveaux projets à tous les niveaux de formation s'en trouve intensifiée. Movetia se réjouit de cette avancée.


Après la signature d'un accord l'année dernière par les cantons de Vaud et de Zurich ainsi que de Soleure et de Neuchâtel, Nidwald et le Valais font de même en ce début d'année. Cette convention est une étape logique d'une collaboration qui dure depuis des années. 

La volonté politique est là
Les avantages d'une participation à un projet d'échange et de mobilité sont importants. Les apprenant-e-s et les enseignant-e-s découvrent la culture de l'autre région linguistique/canton, peuvent nouer des contacts avec des personnes et/ou des institutions de formation et acquérir de l'expérience. Les connaissances dans l'autre langue peuvent être améliorées et les inhibitions dans l'utilisation de la langue supprimées. C'est pourquoi les échanges et la mobilité sont fermement ancrés dans la politique de l'éducation. «Tous les jeunes participent au moins une fois à une activité d'échange et de mobilité de longue durée au cours de leur formation ou de leur transition vers la vie professionnelle». Telle est la vision de la stratégie de la Confédération et des cantons, mise en œuvre par Movetia. Avec l'accord conclu ce jour/la semaine passée, la Suisse se rapproche un peu plus de cet objectif.

Un partenariat officiel a des avantages
Depuis plus de dix ans, Nidwald et le Valais collaborent avec succès dans le domaine de la promotion des échanges et de la mobilité. Actuellement, les projets se déroulent principalement au niveau de l'école obligatoire et du secondaire II. Le partenariat institutionnel doit également permettre de renforcer les échanges à tous les niveaux de formation, y compris la formation professionnelle. Bien que la collaboration fonctionne déjà très bien, le partenariat officiel présente des avantages: la motivation des parents, des apprenant-e-s et des enseignant-e-s pour un échange linguistique est plus grande si les cantons s'engagent officiellement dans ce sens. De plus, il en résulte un engagement à réaliser les projets d'échange et de motilité - toujours volontaire mais plus que «nice to have».